Synopsis :
Antoine Doinel a 12 ans, aime bien faire les 400 coups du titre, est rêveur et un peu dissipé, ce qui lui vaut les remontrances et punitions de son professeur de français.
Il a une mère, qui l'a eu très jeune, qui est secrétaire et volage et qui ne l'aime guère.
Son beau-père, lui est gars plutôt simple et sympa avec lui mais ne veut pas trop s'impliquer dans son éducation.
Les punitions à l'école s'enchaînent et avec ça, un absentéisme galopant et les mensonges qui vont avec.
Antoine est aspiré dans une spirale qui va l'emmener en maison de correction...
Premier Truffaut et une des premières œuvres de ce qu'on appellera la Nouvelle Vague.
Un film au traitement original pour un sujet qui a déjà été travaillé auparavant ("Zéro De Conduite", "L'Ecole Buissonnière", "La Guerre Des Boutons") où on suit Antoine dans presque chaque plan, comme un documentaire.
Jean-Pierre Léaud est une révélation et le personnage reviendra dans quatre autres films de ce que l'on nommera le cycle Antoine Doinel.
Pas le meilleur Truffaut ceci dit mais une bonne mise en bouche pour un film qui est rentré dans l'histoire.
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