Synopsis :
Première partie :
Au temps des premiers hominidés, un groupe d'individu tente tant bien que mal de survivre face à la menace d'autres groupes de singes ou de félins.
Un matin, le groupe se réveille et découvre un monolithe noir.
Au départ apeurés, les singes vont vite être transformés par cette découverte et apprendre à se servir d'os comme arme face aux prédateurs.
2ème partie :
En 1999, le docteur Floyd se rend sur la lune car une découverte intrigante vient d'être faite sur un cratère du satellite, il s'agit d'un monolithe noir.
Les scientifiques présent avec lui pensent que ce monolithe est d'origine extraterrestre et décident de taire cette découverte.
Le docteur Floyd touche le monolithe (comme un singe dans la première partie) et une onde radio est projetée en direction de Jupiter.
3ème partie :
En 2001, le vaisseau Discovery One est en route pour Jupiter, l'ordinateur Hal 9000 ultra-sophistiqué, autonome et doté d'une conscience quasi-humaine contrôle absolument tout les aspect de la mission et du vaisseau jusqu'au réveil des pilotes et scientifiques en hiberbation.
Hal détecte une panne à venir dans l'antenne satellite du vaisseau, après vérification les scientifiques découvrent il s'agit d'une erreur de diagnostic de l'ordinateur.
Le scientifique Bowman commence à douter de Hal et se demande s'il ne faudrait pas mieux reprendre le contrôle de vaisseau.
Hal se rend compte de la traîtrise à venir, tue les scientifiques encore en hibernation, un autre en pleine mission dans le vide spatial et s'engage alors une confrontation étouffante entre Bowman et l'ordinateur.
4ème partie :
Bowman est donc le seul survivant du vaisseau et est dans une capsule, arrivé près de la géante gazeuse.
Il découvre le monolithe et est aspiré dans un tunnel supra-luminique...
Oeuvre hors norme, à la fois poème métaphysique, allégorie philosophique, expérience visuelle inoubliable qui laissera l'équivalent d'une persistance rétinienne dans l'âme et l'esprit du spectateur.
Les interprétations sont aussi nombreuses qu'il y a de spectateurs.
Un film d'une acuité scientifique rare (il n'y a pas d'air dans l'espace donc pas de son donc les bruits de moteur ou les lasers qui font puit-puit...oubliez!)
La première oeuvre entièrement Kubrickienne du maître (des plans beaux comme des tableaux, utilisation de l'espace et de la lumière assez originale, l'utilisation intelligente de la musique (ici les pièces angoissantes de Ligeti)).
Un film que chacun se voit de voir au moins une fois dans sa vie.
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