Synopsis :
Max à la soixantaine et est le président d'une organisation défendant les droits de l'homme et les prisonniers politiques (enfin, surtout des dictatures militaires de droite, il ne faut pas déconner quand même).
Reconnaissant en l'ambassadeur du Paraguay qu'il doit rencontrer, un ancien nazi qu'il a connu étant enfant dans les années 1930, il abat celui-ci.
Lors du procès, les témoins défilent et nous raconte l'histoire de Max, enfant juif à Berlin, recueilli par des résistants Allemand puis réfugié en France…
Cette adaptation libre d'un roman de Kessel est rentrée dans l'histoire surtout pour Romy, ici dans un double rôle, qui hante le film de son désespoir mis à nu.
Deux scènes sont inoubliables : les larmes de Romy en voyant le jeune Max vouer du violon (son fils David est mort pendant le tournage) et la scène finale de l'étreinte et la déclaration d'amour du personnage joué par Piccoli et celui de Romy (les cinéphiles comprendront).
Film politique socialiste un peu bas du front mais l'histoire et l'interprétation est admirable, faisant de ce chant du cygne de notre Allemande préférée une œuvre poignante et admirable.
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